La conséquence du capitalisme

Depuis six samedis suivis, les Islandais continuent à manifester pour exprimer leur malaise à cause de la situation économique du pays. La peur du Gouvernement islandais est arrivée si loin, que la dernière manifestation finit avec des affrontements avec la police, après que les agents de police aient utilisé les gaz lacrymogènes pour dissoudre un groupe qui essayait de assaillir un commissariat a Reykjavik. Aussi, près de 300 personnes s’éloignèrent de la manifestation principale pour réclamer la mise en liberté d’un jeune détenu la nuit d’avant à cause des incidents dans une autre concentration. Après avoir dissous les manifestants, la police libéra le détenu après le paiement d’une caution.

La crise économique a situé le pays au bord du collapse financier, et le Gouvernement a été obligé de nationaliser les banques, dévaluer la monnaie et affronter une inflation de plus en plus élevée. Dans la manifestation de samedi, ils réclamèrent les élections anticipées, et il y a eu aussi des proclamations contre le Fonds monétaire international (FMI) attenter au système de confort social islandais. Le FMI du accorder à l’Islande un emprunt de 2,1 milliards de dollars, qui s’ajoutent au prêt de Danemark, Finlande, Norvège, Suède, Russie et Pologne, de 3 milliards de dollars

C’est la preuve de comme un pays prospère, avec un État de Confort avancé, peut s’écrouler à cause d’un système économique néfaste. Les Islandais sont les premiers à être fatigués, leur voix doit se prendre au profit des alternatives qui assureront la permanence de leur système. Sa voix de protestation est une voix contre le capitalisme, qui, rappelons-nous, continue à mourir, même si tous les sommets mondiaux veulent la remettre à flot.